Baptisé Sagaris, en référence à la hache des amazones, ce collectif d’artistes, un peu différent, est constitué d’une vingtaine d’artistes ayant été parfois victimes de violences conjugales.
Fondée en 2018 par Marie Le Menach, également touchée par ces violences, l’association met en avant l’art comme un moyen de libération des souffrances, offrant ainsi la possibilité de se reconstruire à travers la création.
Les créations exposées sont des peinture (street-art, aquarelles, huiles) ou des sculptures (bronze, acier et terre).